jeudi 30 juin 2011

Room to Live and Love in China's Cities

Shortly after they met, Wu Zheng shocked her girlfriend, Charlene Lee, by kissing her on a Beijing street.



“I said, ‘What, you do that here?’ I’m from Singapore, and we’re conservative. There is that constant fear,” recalled Ms. Lee, 30.
“I felt it was no problem,” said Ms. Wu, 30, a native Beijinger, grinning at Ms. Lee as she stirred a bloody mary in a cafe.
It wasn’t. Lesbians in China today are remarkably free, the result of profound social changes over three decades of fast economic growth, and of being female in a society that values men far above women. Invisibility provides lesbians with room to live and love amid the anonymity of China’s millions-strong megacities.
“I think people are more tolerant of female gays than male gays,” said Li Yinhe, a sociologist at the Chinese Academy of Social Sciences. “China is a very patriarchal society, so people feel if a man is gay that’s really shameful.”
“Traditional society basically overlooks women in some ways, and there is a certain freedom in that,” she said. “But that free space isn’t necessarily power.”
Lesbians’ freedom exists in a gray area. Like male homosexuals, lesbian couples cannot marry or legally form a family, creating problems in separation, illness or inheritance issues. Confronted too openly, relatives often object, too.
“Chinese people can accept people being lesbian or gay. But not within their own family,” Ms. Wu said, who is an events manager and plans to start an online sex toy business.
“In China it’s very weird,” Ming Ming, a lesbian documentary filmmaker, said. “If you don’t talk about it, it doesn’t exist. But actually it’s not at all easy. The pressure to marry is enormous.”
Traditionally, men are expected to carry on the family line, creating greater pressure on male gays to marry. In theory, that offers lesbians greater freedom. But in practice, “It’s a huge loss of face for a family when a daughter doesn’t marry,” said Ms. Ming.
Also, China’s one-child policy has produced around 140 million only children, Ji Baocheng, president of Renmin University of China, told the official People’s Daily newspaper in March. This has increased pressure on lesbian only daughters to produce offspring.
Lesbianism was officially taboo until 1997, when “hooliganism,” a catchall term that included homosexuality, was struck off the criminal code.
The Communists’ narrow morality in the decades after the 1949 revolution contrasted with the preceding Republican period and the end of the last imperial dynasty, when women refusing marriage — many of them lesbians — gathered in villages in southern Guangdong Province to “comb their own hair,” as noted recently in People’s Daily. The phrase refers to the traditional practice of women tying their hair in a bun when they marry.
Today, most major cities in China have lesbian bars or cafes offering support groups, talks and parties. In Beijing and Shanghai there are gay pride events, held privately in the hope of avoiding cancellation by the authorities (as happened this month with the biennial Beijing Queer Film Festival. The festival went ahead anyway, “guerrilla-style,” organizers said.)
State media discuss lesbianism and commitment ceremonies, and the official Legal Daily newspaper even reported on a survey showing that about half of lesbians had experienced violence from relatives or partners.
Campaigners for gay marriage say they are gaining ground, though very slowly.
In terms of personal behavior, “The change is coming faster and faster,” said An Ke, organizer of Lala Salon, a weekly lecture and discussion at Half Dozen, a bar in Beijing.
Speaking after a recent salon — on rape in eastern Congo — Ms. An said lesbians are, cautiously, “coming out.”
“There are 70-year-olds, 50-year-olds who have come out. Seven years ago that wasn’t happening,” she said. “The age of women coming out is also getting younger and younger.”
In the Beijing suburb of Tongzhou, Ms. Ming and her partner, Shi Tou, have been making a documentary film about more than 100 Chinese lesbians for seven years. Due out in 2012, they plan to show “Sweet Desert” at international film festivals and wherever they can domestically.
Lesbian-themed films can be shown, discreetly, in bars and universities, said Ms. Shi, 42, who acted in China’s first feature film about lesbians, “Fish and Elephant,” screened in 2001 at the Venice Film Festival.
Lesbian government and Communist Party officials refused to be filmed. Being openly gay in government is a career killer, Ms. Shi said.
“There is so little about lalas in China,” Ms. Shi said, using the slang term by which Chinese lesbians refer to themselves. Debate about homosexuality is focused on men, and on issues like H.I.V., she said.
Still, said Ms. Wu: “I think it’s really very free here. People close one eye — as long as you don’t demand too many human rights.”
Yet interest in rights is growing.

Sherry Rehman, la femme à sauver

Sherry Rehman fait partie de ces femmes qui font avancer les choses au péril de leur vie, ancien ministre de l'information au Pakistan, elle est aujourd'hui menacée de mort et vit sous haute protection dans son pays pour avoir oser s'éléver contre des codes et des lois caduques et avilissants. Elle n'est pas lesbienne, mais ce blog n'est pas anti-mec, ou anti-hétéro, elle est de celles dont l'intelligence et le courage sont des exemples, elle est de celles qui ouvrent les portes, enfoncent les cadres et font avancer les choses

Figure publique elle est, figure publique elle demeure. C’est donc à son domicile privé, à Karachi, que la parlementaire libérale du Pakistan Peoples Party (PPP), le parti de feu Benazir Bhutto, sa grande complice, que Sherry Rehman, 50 ans, ancienne ministre fédérale de l’Information, reçoit le JDD. Trois camions remplis de soldats sont garés devant la maison. Des sacs de sable ont été empilés depuis quelques jours devant la façade et un militaire, mitraillette au poing, est posté là en permanence. Une fois la porte franchie, après moult vérifications d’identité, des hommes en armes vous montrent le chemin.

Dans le jardin, un berger allemand à l’allure féroce et un chérubin sculpté attendent les visiteurs. La demeure, crépusculaire malgré ses murs d’un jaune pimpant, abrite des trésors artistiques et des pièces curieuses dont on devine qu’un jour, autrefois, elles ont dû servir. Une demeure mystérieuse repliée sur ellemême, comme si le temps suspendu et altéré peinait à trouver sa place, un peu à l’image du pays.
Sherry Rehman pourrait bien être la troisième de la liste. Elle le sait. La troisième d’un trio qui a décidé en janvier dernier d’amender la loi sur le blasphème, instaurée en 1986 par le général Zia ul-Haq, et qui prévoit la peine de mort. Une hérésie en terre d’islam. Le gouverneur du Pendjab, Salman Taseer, a été le premier à tomber sous les balles d’un policier chargé de le protéger, il y a deux mois. Mercredi, le ministre chrétien des Minorités religieuses, Shahbaz Bhatti, est mort à son tour, assassiné par des hommes à moto, au coeur d’un quartier huppé de la capitale, Islamabad. Double message: il n’y aura désormais plus personne à qui faire confiance ni d’endroit où se sentir à l’abri. "Je ne suis nulle part ailleurs qu’au Pakistan, balaie, joliment agacée, Sherry Rehman. Certes je voyage un peu à l’étranger, mais pas plus d’une fois tous les deux mois. Je n’habite pas en dehors du pays, comme peuvent le raconter les rumeurs. Je me rends régulièrement à Islamabad pour les sessions parlementaires. Mais je fais très attention, comme me l’a conseillé le ministre des Affaires intérieures."

"Il n’y a pas d’ennemi extérieur. Il est ici chez nous, il est nous"

Sait-elle, au moment où elle se saisit lentement de son paquet de cigarettes françaises, que ce geste banal fait précisément le tour du Net en ce moment? Que cette fumée qu’elle va inhaler dans quelques secondes signe, aux yeux du pays, une attitude jugée décadente, car occidentale? Sans doute, avec plus de 150 menaces de mort reçues chaque jour par e-mail. Courageuse et brave selon certains, "takfir" ("infidèle") et idiote pour d’autres, Sherry Rehman focalise la colère d’une partie du peuple pakistanais. "Si pour défendre le droit du peuple et le droit des minorités, il faut en appeler au courage, je le ferai. Même si je trouve triste que le pays en soit arrivé là. Mon mari ne m’a pas dit autre chose: “Tu ne dois pas céder, tu ne dois pas reculer”, m’at-il répété."
Reculer, n’est ce pas justement ce que son propre parti, le PPP, n’a cessé de faire… Il a d’abord évité le sujet ces dernières années, alors que des dizaines de personnes poursuivies pour blasphème sont mortes assassinées, au cours de leur procès, en prison ou en retournant chez elles. Mais le cas d’une paysanne chrétienne, Asia Bibi, a enflammé le monde occidental et poussé les politiciens pakistanais à se mettre à couvert. Taseer, Bhatti et Rehman, s’y refusant, se sont emparés du dossier. Aujourd’hui, Sherry Rehman se garde bien d’accabler son propre parti et préfère charger l’ex-président, Pervez Moucharraf. "Je ne suis pas surprise de ce qui arrive. C’est la conséquence directe de tout ce qu’ont fait, ou pas fait, les dictateurs qui ont dirigé notre pays. Ils ont laissé la place aux mouvements religieux. Mais ces gens n’ont rien à proposer, ils n’ont pas de machine politique assise sur une vraie base électorale. Et la seule fois où ils ont eu le pouvoir, ce fut un désastre."
Les religieux restent à l’écart des institutions politiques. Mais ils trustent la rue. Et la pauvre Sherry Rehman en fait les frais. Plus de 40.000 furieux se sont rassemblés le 30 janvier à Lahore pour protester contre la tentative d’amender la loi sur le blasphème, après qu’elle fut apparue à la télévision pour en parler. "Nous sommes en guerre, soufflet-elle presque malgré elle. Il n’y a pas d’ennemi extérieur. Il est ici chez nous, il est nous."
Il est notamment de l’autre côté de la jolie demeure de la très libérale Sherry Rehman. Lui aussi est protégé par la police. Mais lui ne se dissimule pas, il se soustrait seulement au regard des curieux. Il se préserve pour un au-delà que bon nombre de ses pairs ont atteint pendant la guerre contre les Soviétiques, à la fin des années 1980. Nous sommes à la madrasa de la Jamiatul-Ulomil-Islamiyyah. Tous les plus grands djihadistes sont passés par là. Le mollah Omar en personne y a un fait un long séjour. Mais depuis 2001, la madrasa, sous l’oeil aiguisé des "services" et de l’État, s’était racheté une conduite.
Il aura suffi d’une étincelle, d’un faux pas de "l’ennemi" pour que les mollahs de la madrasa sortent du bois, jusqu’à faire alliance avec ceux qu’ils détestent. Ce fut la démonstration de force du 30 janvier, avec la création d’un nouveau mouvement, le Tehreek Namoos e-Risalat, qui englobe sous cette nouvelle bannière sept mouvements religieux, partis légaux ou non, sectes chiites, hanefites ou déobandis. "Cette tentative d’amendement n’a pas été choquante seulement pour moi, souligne le vice-président de la madrasa, Abdul Razaq, mais pour toute notre oumma. Cette femme n’a aucune autorité en matière de constitution et de charia. Ce qu’elle a tenté de faire est-il stupide ? Non, disons plutôt dénué de sens."
Une faute que les religieux de tout poil ont saisie. "Cette affaire, explique le professeur de relations internationales Naheem Hamad, c’est du jamais-vu. Les partis religieux ont étouffé leurs différences. Ils ont certes des agendas différents, certains émanent d’Al-Qaida, mais ils ont trouvé un terrain d’entente provisoire." La société pakistanaise serait ainsi devenue "surreligieuse", n’en déplaise aux libéraux ou à l’élite que le politologue considère coupée de la réalité du peuple. Cet armistice religieux devient donc très dangereux. Et s’il y a bien une chose que les islamistes maîtrisent à merveille, c’est de donner du temps au temps. "J’ai dit pendant longtemps que jamais le Pakistan ne deviendrait une république islamique comme en Iran. Mais, aujourd’hui, je suis moins affirmative", poursuit Sherry Rehman, troublée".

Festival Lilith Fair

Lilith Fair est un festival de musique féminin créé par Sarah McLachlan en 1996.

L'originalité de ce festival consiste en la mise en scène d'artistes uniquement féminines qui se produisent en alternance de Seattle à Vancouver en passant par Boston et d'autres villes.

On y retrouve ainsi de grandes interprètes comme Dido, Tracy Chapman, Suzanne Vega, Joan Osborne, Sheryl Crow, Jewel, parmi beaucoup d'autres telles les Indigo Girls, Fiona Apple, les Cardigans, Cassandra Wilson, Victoria Williams, Paula Cole, Sinead O'Connor, Bic Runga, Tara Mclean...
L'auteur-compositrice-interprète canadienne Sarah Mc Lachlan est à l'origine de cette formule.

En 1996, elle s'est en effet aperçue que dans l'industrie musicale des règles différentes s'appliquaient aux femmes par rapport à leurs homologues masculins. Par exemple, les programmateurs refusaient de passer deux interprètes féminines à la suite sur les chaînes de radio, sous prétexte que ce n'était pas commercial, mais cela ne leur posait pas de problème pour les interprètes masculins. Il en allait de même en ce qui concernait le choix des artistes en première partie de concerts.

Ces constatations l'incitèrent à lancer ce festival féminin, baptisé Lilith Fair, en référence au folklore extra biblique juif où Lilith, première épouse d'Adam, refusa de se soumettre à lui et fut rejetée.

Ce festival se propose de célébrer la femme dans le domaine musical sans pour autant être « anti-mec », sans « faire une distinction sexuelle entre les musiques », mais au contraire en montrant « une féminité sereine, synonyme de compassion et de tendre profondeur ». Il se situe donc très loin du « girl power » (pouvoir féminin) revendiqué à la même époque par le « girl band » des Spice Girls.

On peut observer que cet objectif est atteint et qu'il s'agit d'un véritable succès. De plus, on remarque que pour toutes les artistes participantes, ce fut également un énorme coup de publicité qui les hissa au sommet des hit-parades et qui incita les industriels de la musique à modifier leurs habitudes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lilith_Fair

http://www.facebook.com/lilithfairtour

Bill Cunningham, street styler

J’ai decouvert hier en lisant un article sur Bill Cunningham, cet homme de 84 ans qui arpente les rues de new York à vélo depuis 50 ans, avec son appareil photo, m’a interpellé.

Je voulais vous faire partager son histoire.

Ce génie, touchant que l’on définit comme un street styler, photographie non pas les gens, mais les vêtements, passionné par ce que les gens portent. Il est l’histoire de l’évolution des changements et des retours de la mode.

Son minuscule studio situé au dessus du Carnegie Hall est ainsi rempli de tonnes de négatifs.

L’histoire à commencé il y a un peu plus de 40 ans pour Bill Cunningham, trouvant les photos qu’il avait pris d’un manteau de vison fantastique, il s’est resolu a pousser la porte du New York Times, pour les proposer.

Emballement du New York Times, pas pour le manteau de vison, mais pour celle qui le portait : Greta Garbo, c'était le début.

Pour que l’histoire soit compléte, il faut préciser que Bill Cunningham qui ne mange que des hot dogs à 3 dollars, n’avait pas et n’a d’ailleurs toujours pas de télévision.

A few summers ago, on upper Fifth Avenue, Bill Cunningham spied a remarkable creature: a woman, in her seventies, with a corona of blue hair—not the muzzy pastel hue associated with bad dye jobs but the irradiant one of Slurpees and laundry detergent. The woman gave Cunningham an idea. Every day for a month, whenever he saw something cerulean (a batik shawl) or aqua (a Hawaiian-print sarong) or azure (a Japanese parasol) coming down the sidewalk, he snapped a picture of it. One morning, he spotted a worker balancing, on his shoulder, a stuffed blue marlin. “I thought, That’s it, kid!” he recently recalled. The following Sunday, “On the Street,” the street-fashion column that Cunningham has maintained in the Times for more than a decade, was populated entirely with New Yorkers dressed in various shades of the color—a parade of human paint chips. “Mediterranean shades of blue are not yet the new pink, but they are a favorite this summer,” he wrote.

“The cooling watery tones, worn as an accent with white and browns, appear in turquoise-color jewelry and blue hair, but it is rare to see a man crossing the Avenue of the Americas with a trophy sailfish.”

Cunningham’s job is not so different from a fisherman’s: it requires a keen knowledge, honed over years, of the local ecosystem and infinite patience in all manner of weather conditions. His first big catch was an accident. It was 1978, and a woman wearing a nutria coat had caught his eye. “I thought: ‘Look at the cut of that shoulder. It’s so beautiful,’ ” he later wrote. “And it was a plain coat, too. You’d look at it and think: ‘Oh, are you crazy? It’s nothing.’ ” Cunningham shot frame after frame of the coat, eventually noticing that other people on the sidewalk were paying attention to its wearer.

It was Greta Garbo. Cunningham showed the pictures, along with some shots of Cornelius Vanderbilt Whitney (whom he recognized), Farrah Fawcett (whom he didn’t, not owning a television), and the King and Queen of Spain, carrying plastic bags from Gristedes, to an editor at the Times. “The editor said, ‘Why don’t you wait and see who you get next week?’ ” Cunningham recalled. “And I said, ‘My God, I’m not expecting Jesus Christ.’ ” Soon after, his column became a recurring feature.

“On the Street”—along with Cunningham’s society column, “Evening Hours”—is New York’s high-school yearbook, an exuberant, sometimes retroactively embarrassing chronicle of the way we looked. Class of 1992: velvet neck ribbons, leopard prints, black jeans, catsuits, knotted shirts, tote bags, berets (will they ever come back, after Monica?). Class of 2000: clamdiggers, beaded fringe, postcard prints, jean jackets, fish-net stockings, flower brooches (this was the height of “Sex and the City”). The column, in its way, is as much a portrait of New York at a given moment in time as any sociological tract or census—a snapshot of the city.

On September 16, 2001, Cunningham ran a collage of signs (“our finest hour,” “we are stronger now”) and flags (on bandannas, on buildings, on bikes) that makes one as sad and proud, looking at it now, as it did when it was published. So far this year, he has identified vogues for picture-frame collars, microminis, peg-legged pants, and the color gray (“often with a dash of sapphire or violet,” in the manner of the Edwardians). His columns are frequently playful—he once featured a woman, near the Plaza, walking three standard poodles, “an unmatched set in pink, turquoise, and white”—but they also convey an elegiac respect for the anonymous promenade of life in a big city, and a dead-serious desire to get it all down.


Read more http://www.newyorker.com/reporting/2009/03/16/090316fa_fact_collins#ixzz1Qjn0o300

Ladyfest : feminist arts and activism

Ladyfest is a community-based, not-for-profit global music and arts festival for female artists that features bands, musical groups, performance artists, authors, spoken word and visual artists, films, lectures, art exhibitions and workshops; it is organized by volunteers.

The first ever Ladyfest was conducted in Olympia, Washington in August 2000 with over 2000 people attending. Prime motivators in the event were Sarah Dougher, Sleater-Kinney, and Teresa Carmody. Also performing were The Gossip, Bangs, The Need, The Rondelles and Bratmobile.

Since the first Ladyfest, the event has branched out into other urban centres such as Amsterdam, Atlanta, Belfast, Belgium, Bellingham, Berlin, Birmingham, Bordeaux, Brighton, Bristol, Brooklyn, Cambridge, Columbus[disambiguation needed], Cork, Chicago, Cardiff, Dijon, Dublin, Glasgow, Grenoble, Lansing, MI, London, Los Angeles, Madrid, Manchester, Melbourne, Orlando, Ottawa, Oxford, Philadelphia, Scranton, San Francisco, San Diego, Sevilla, Texas, Toronto, Toulouse, Traverse City, Washington DC, Wellington, New Orleans, New Zealand and more. Each new festival is organized locally and independently of other Ladyfest events in other states or countries, primarily by volunteers, and most proceeds are donated to non-profit organizations.
Ten years on from the original event Ladyfest is still going strong as a global phenomenon.

The 2010 London Ladyfest was promoted as a "tenth anniversary" event, "celebrating a decade of DIY feminist arts and activism"
There is currently a Ladyfest being planned in Tuscaloosa, Alabama for Spring 2011.
The first ever Ladyfest Paris will be taking place on July 2nd and 3rd 2011

http://en.wikipedia.org/wiki/Ladyfest

http://ladyfestparis.tumblr.com/

lundi 27 juin 2011

Arriver à bien dormir - Comment trouver ou retrouver le sommeil

Journées chargées, stress, contrariétés… Tous les problèmes du quotidien peuvent affecter la qualité de votre sommeil.

Quelques conseils pour apaiser votre sommeil :

- Manger léger :
Avoir l'estomac trop lourd ne facilite pas l'endormissement. Mangez donc plutôt léger mais sauter le dîner du soir n'est pas une bonne idée. Vous risquez en effet d'être réveillée au milieu de la nuit, affamée !
- Ambiance zen et confortable
Vous devez vous sentir bien dans votre chambre pour y dormir paisiblement. Déco, ambiance… À vous de créer un environnement apaisant.
» Evitez les éclairages trop vifs et les décos trop chargées ou aux couleurs trop intenses (noir, violet, rouge sont à éviter).
Optez pour un style épuré et des couleurs apaisantes, avec lumières douces et tamisées.
optez pour un environnement ou vous vous sentez bien
- Se relaxer
Le soir, après les activités habituelles, réservez-vous une demi-heure avant le coucher pour des occupations tranquilles et favorisant la détente.
- ne pas ruminer ses tracas dans son lit
S'il faut se détendre avant d'aller se coucher, il faut aussi éloigner toute source de stress ou d'inquiétude.
Si possible, évitez les activités trop "intellectuelles" le soir comme rédiger un rapport ou préparer une réunion. Vous vous coucherez stressée et, fatalement, vous allez avoir du mal à dormir.
De même, prenez l'habitude de ne pas aborder les problèmes ou sujets qui fâchent en fin de soirée, c'est le meilleur moyen pour passer des nuits à ruminer...

http://www.linternaute.com/sante/maux-quotidien/bien-dormir/


j'ai souvent des problémes pour dormir alors j'utilise systematiquement deux techniques :
-J'ecris tous les soirs sur un carnet tout ce que j'ai dans la tête avant de me coucher
Le fait que ce soit sur un carnet, ce n'est plus ou en tout cas moins dans ma tête
-Je pense à trois choses positives que j'ai faites dans la journée avant de m'endormir

cela ne marche pas systématiquement, mais en tout cas, je dors mieux même si ce n'est pas toujours parfait en le faisant.

Trouver la sérénité :

Jouer golf : ludique, reposant et stratégique

J'adore jouer au golf, c'est un sport que je pratique depuis 2 ans, j'y joue le plus souvent possible.
Ce sport vous apprend à vous connaitre, à dépasser vos limites, il ne s'agit pas seulement de marcher 18 trous (grosso modo suivant les parcours entre 5 et 6 kilométres), il faut frapper chaque coup correctement, lire le parcours, elaborer une stratégie pour aller au green, avoir un bon mental, et croire en soi.
C'est un sport qui est parfois générateur de frustration, rater un putt à 1 mètre, et souvent générateur de grandes joies, faites un birdie et vous marcherez sur l'eau toute la journée, je ne parle même pas d'un eagle.

En quelques mots :
Le but du golf est simple : faire entrer une balle dans un trou en la frappant le moins de fois possible à l’aide d’un club. Le principal défi au golf est de pouvoir lire l’environnement du parcours pour élaborer les bonnes stratégies, effectuer des coups parfaits et terminer rapidement le parcours en prenant soin d’éviter les différents obstacles dressés ici et là.

Pour débuter la meilleure solution est de s'inscrire dans un club, il y en a énormement, et plus beaucoup qui sont privatisé, passer votre carte verte (c'est le package du débutant) et partez à l'assaut des parcours.

Pour celles qui vivent aux Etats Unis, n'hésitez pas a aller voir un tournoi du LPGA, les joueuses sont formidables et très abordables, je pense à Yani Tseng, Michelle Wie, Na Yeon Choi, Cristie Kerr, Paula Creamer.
J'ai eu l'occasion l'année dernière d'assister au dernier tournoi du LPGA en Floride : fantastique

Pour celles qui vivent en Europe, tout n'est pas perdu, n'hésitez pas à aller à l'Evian Master en juillet

Un grand monsieur de golf : Ben Hogan



Et pour le fun : la vision de Disney

Stop Lesbophobie : In African Women’s Soccer, Homophobia Remains an Obstacle

Shortly before she was hired in 2009 as the first female coach of Nigeria’s powerful women’s national soccer team, Eucharia Uche said at a seminar that she was troubled by the presence of lesbians on the squad, calling it a “worrisome experience.”

Over the past two years, as Nigeria progressed toward the Women’s World Cup, which begins Sunday in Germany, Uche said that she has used religion in an attempt to rid her team of homosexual behavior, which she termed a “dirty issue,” and “spiritually, morally very wrong.”

FIFA, soccer’s world governing body, states as part of its mission a desire to use the game in “overcoming social and cultural obstacles for women with the ultimate aim of improving women’s standing in society.” But the story of Nigeria’s Super Falcons illustrates the cultural obstacles that remain for many African women who play soccer decades after more assertive efforts at inclusivity occurred in places like the United States, Germany, Norway, Sweden and more recently in Brazil.

Uche said she had never witnessed her own players participating in homosexual activity. Instead, she said that she had relied on rumors, speculation and news media accounts to form her belief that lesbian behavior had been common in the Nigerian team.

“When rumors are strong, you are bound to believe it is happening,” Uche, 38, said in a telephone interview from Nigeria’s World Cup training camp in Saalfelden, Austria.

In March, Uche made similar remarks to The Daily Sun newspaper of Nigeria. The newspaper also quoted a former technical assistant for the country’s soccer federation, James Peters, saying that he had removed some players from Nigeria’s women’s team last year, “not because they were not good players, but because they were lesbians.”

That was not her style, Uche said from Austria. Instead, she said, she had regularly brought in Pentecostal ministers to pray with and counsel her players. Her players routinely read the Bible and sometimes prayed together, Uche said.

“The issue of lesbianism is common,” said Uche, who previously played in the World Cup for Nigeria and described herself as a Christian who is married and a mother of two children. “I came to realize it is not a physical battle; we need divine intervention in order to control and curb it. I tell you it worked for us. This is a thing of the past. It is never mentioned.”

On a continent where homosexual behavior is widely considered immoral, lesbians are sometimes ostracized and subjected to beatings. In countries like South Africa and Zimbabwe, some women are raped in a so-called corrective treatment for homosexual behavior.

In one high-profile case in South Africa, a top female soccer player and lesbian activist, Eudy Simelane, 31, was murdered in 2008. Although one of her attackers testified that robbery was the motive in the stabbing death, Simelane’s death became the focus of a campaign to draw attention to violence against gays and lesbians.

Last year, Nigeria, which is making its sixth appearance in the World Cup, accused Equatorial Guinea, another Cup participant, of using at least one and perhaps two male players on its team because of their supposed masculine appearance. Soccer officials from Equatorial Guinea called the charge unfounded, saying it stemmed from an “inferiority complex” among rival African teams.

The case was dismissed by the Confederation of African Football, the continent’s governing body, according to a spokesman for the Nigerian soccer federation. Uche said, “Until it is proved, no one can say a player is a man or a woman.”

The treatment of lesbians in sport is not a matter restricted to women in Africa. Some women on previous United States national soccer teams have been reluctant to live openly gay lifestyles for fear of repercussions. And despite all the advances of gender equity in sport, lesbianism remains a sensitive matter in recruiting in college basketball.

But homosexuality remains a particularly taboo subject and carries a significant social stigma in many parts of Africa. Nigeria is divided between a Muslim north and Christian south. Homosexual acts are prohibited and those who are openly gay or lesbian risk harassment and blackmail, experts said. In Nigeria’s north, gay men can face death by stoning for sodomy.

“It’s sad because a lot of Nigerians look at homosexuality almost as a disease,” said Unoma Azuah, a Nigerian-born novelist who teaches literature at Lane College in Jackson, Tenn., and has written extensively about the treatment of lesbians and bisexuals in Africa’s most populous nation. “It’s a very harsh environment.”

http://www.nytimes.com/2011/06/23/sports/soccer/in-african-womens-soccer-homophobia-remains-an-obstacle.html?_r=4&pagewanted=1

Stand up pour Kathryn Dawn Lang

Kathryn Dawn Lang, OC (née le 2 novembre 1961), mieux connue sous le nom de scène k.d. lang, est une chanteuse et parolière canadienne.

Lang est née dans la petite ville rurale de Consort, Alberta et a grandi dans les prairies canadienne ; elle est d'origine allemande, Sioux et islandaise par son père, et elle a une arrière grand-mère russe juive du côté de sa mère. Chantant à des rencontres de country et de western au Canada, elle enregistra plusieurs chansons qui reçurent des critiques favorables et elle obtint en 1985 un Juno Award de l'espoir féminin en chant. Elle reçut le prix en robe de mariée.

En 1986, elle signa un contrat avec une maison de disques américaine à Nashville (Tennessee), et rencontra le succès critique pour son album de 1987, Angel with a Lariat. Sa carrière reçut un grand coup de pouce quand le légendaire chanteur de rock Roy Orbison la choisit pour enregistrer un duo de son succès Crying.

Au lieu d'être submergés par la puissance de la voix à trois octaves d'Orbison, les deux interprètes mêlèrent leur extraordinaire étendue vocale dans une collaboration médusante qui gagna le Grammy Award de la meilleure collaboration chantée de country.

En 1988, elle interpréta Turn me Round à la cérémonie de clôture des quinzièmes Jeux olympiques d'hiver à Calgary. Plus tard dans l'année, elle devait chanter avec Jennifer Warnes et Bonnie Raitt les chœurs de l'émission consacrée à Orbison, Roy Orbison and Friends, A Black and White Night.
K.d. lang gagna le Grammy Award de la meilleure performance vocale féminine de country pour son album de 1989, Absolute Torch and Twang. Le titre Full Moon of Love issu de cet album devint un modeste succès aux États-Unis durant l'été 1989.

k.d. lang, qui s'est affirmée publiquement comme lesbienne dans un article de 1982 du magazine d'actualité gay The Advocate, a soutenu activement des causes lesbiennes. En 1997, elle embrasse Ellen DeGeneres à la remise du Los Angeles Gay and Lesbian Center Creative Integrity Award. Elle a aussi soutenu plusieurs autres causes, comprenant la recherches sur le sida et les soins donnés aux séropositifs. Elle est parfois connue pour son utilisation d'une apparence physique androgyne. Ses convictions végétariennes des droits des animaux incluant une campagne « La viande pue » provoqua une forte polémique, en particulier dans l'industrie d'élevage de bétail de sa ville natale au milieu de l'Alberta.
L'album Ingenue, sorti en 1992, contient sa chanson la plus populaire, Constant Craving, qui a atteint plusieurs millions de disques vendus, un succès critique retentissant, et le Grammy Award de la meilleure chanteuse pop ou de variétés. Un autre titre de l'album à entrer dans les dix meilleures ventes fut Miss Chatelaine ; cette chanson à l'inspiration salsa était ironique, l'apparence masculine de Lang contrastant avec l'idéal féminin du titre.

En 1993, elle figure en qualité de vedette dans le film situé en Alaska Salmonberries, aux critiques médiocres. Elle écrivit la plupart de la musique de la bande originale du film de Gus van Sant Even Cowgirls Get the Blues, qui adapte le roman de Tom Robbins. Elle a aussi exécuté une reprise de "Skylark" pour l'adaptation au cinéma du livre Minuit dans le jardin du bien et du mal. Elle a aussi interprété "Surrender" pour le générique de fin du film de James Bond Demain ne meurt jamais, ayant déjà travaillé avec le compositeur David Arnold sur son album Shaken and Stirred: The David Arnold James Bond Project.

En 1996, elle est nommée officier de l'Ordre du Canada. La pochette de l'album Drag la montre à nouveau en costume d'homme, tandis que les chansons tournent toute autour du thème de la cigarette.

En 2003, elle reçoit son quatrième Grammy Award, cette fois pour le meilleur album traditionnel pour sa collaboration avec Tony Bennett, A Wonderful World. Hymns of the 49th Parallel, son album de reprises de classiques canadiens (Leonard Cohen, Joni Mitchell, Neil Young, Jane Siberry...), rencontre toujours autant de louanges.

Le 29 juillet 2006, Lang a chanté son succès, "Constant Craving", à la cérémonie d'ouverture des Jeux Outgames à Montréal.

En 2006, on la retrouve dans une petite scène du film Le Dahlia Noir de Brian De Palma, dans lequel elle chante dans un bar lesbien.

Le 12 février 2010, elle chante "Hallelujah" de Leonard Cohen lors de la cérémonie d'ouverture des jeux olympiques d'hiver de Vancouver.

http://fr.wikipedia.org/wiki/K.d._lang

Christine Quinn: ‘This is a monumental occasion for myself, my family, and the LGBT community’

When I was a little girl I dreamed I would one day get married, I never imagined that it would take tonight’s Senate action to make that dream come true. Tonight’s historic Senate vote is a great moment for all New Yorkers. New York State’s recognition of marriage equality for same sex couples is an extraordinary step towards full equality for LGBT people. Tonith’s sweet victory in Albany will be felt all across America. At long last, the change we have fought for will be seen in the lives of families throughout our great state, including my own.

Our community has come a long way from the pre-Stonewall days where people had to deny their own existence and fear recognition from others. This successful vote was made possible by the hard work of many, many New Yorkers. We organized, rallied, called, wrote, emailed, and tweeted, demanding equal rights. Not only LGBT New Yorkers but our parents and friends, neighbors and co-workers. This is a victory for LGBT families, but really it is a victory for all New Yorkers.

Our thanks go to Governor Cuomo, who made this one of his top priorities and never wavered. He is a true hero to our community. Majority Leader Skelos, Minority Leader Sampson and Senator Duane put in tremendous work to pass this bill and deserve our deep gratitude. Assembly Speaker Sheldon Silver and Assembly Member Danny O’Donnell have been relentless champions of our cause. Tonight would never have happened without the tireless sweat and work of all the members of the New Yorkers United for Marriage coalition and the countless supporters whose belief and persistence gave Senate the loud and clear message to extend marriage equality to all New Yorkers. Thanks to my Council colleagues and Mayor Bloomberg for their eloquent calls for equality.

This is a monumental occasion for myself, my family, and the LGBT community. No longer will families in New York have to worry about medical decision-making authority, inheritance rights, presumption of parenthood among many other rights and responsibilities. Today true equality is closer than ever.

http://www.lgbtqnation.com/2011/06/christine-quinn-this-is-a-monumental-occasion-for-myself-my-family-and-the-lgbt-community/

Christine Quinn at the Empire State Pride Agenda Fall Dinner in 2006

Stand up pour Sande Zeig

Sande Zeig commence sa carrière en tant qu’actrice dans le théâtre, puis elle se prend au jeu de l’écriture. Elle participe à une adaptation, Behind The Heart, sur la vie de Djuna Barne, puis avec Monique Wittig, elle écrit et co-réalise Le Voyage sans fin, montée par la Compagnie Renaud-Barrault.

Sa collaboration avec Monique Wittig se poursuit. : écriture d’un livre à quatre mains Le Brouillon d’un dictionnaire des Amantes, et au cinéma, la mise en image du présent film, The Girl , premier écrit en anglais de Monique Wittig. Sande Zeig écrit également un one man show, Impersonators.

Son travail remarqué l’amène à voyager, et elle est reçue en résidence au Goddard College, à l’Université du Wisconsin et au MacDowell Colony Fellow.

Un premier court-métrage Central Park est présenté à plus de trente festivals, dont Sundance, Berlin, Toronto, Locarno, Rio de Janero ou encore Taïpei. Cette reconnaissance l’encourage. Elle se lance alors dans la réalisation d’un long-métrage, The Girl.

Parallèlement à sa carrière artistique, Zeig est une productrice engagée, en autre, présidente de Artistic License Films, distributeur de films indépendants à New York.

THE GIRL :
Peintre, belle, elle fréquente les night-clubs. Une chanteuse sur scène. L’histoire commence.
La femme peintre raconte alors l’histoire de cette passion obsédante. Elle appelle la chanteuse The Girl. Elle lui propose de coucher avec elle. The Girl l’emmène à l’hôtel où elle vit, et lui dit " c’est juste pour une nuit ". Mais les deux femmes continuent à se voir. Chacune, cependant, entretient d’autres relations: The Girl rencontrent des hommes, et la femme peintre ne renonce pas à son ancien amour, Bu Savé.
Un homme étrange fait son apparition dans le club où chante The Girl. Il semble la connaître.
La femme peintre remarque l’homme. Elle l’épie, d’abord de loin, puis elle le suit. La femme peintre et The Girl s’engagent dans une relation de plus en plus complexe. La femme peintre se rend alors compte que l’homme est une menace pour The Girl.
Soudainement, The Girl disparaît.
La femme peintre part à sa recherche, mais en vain. Elle apprend alors que The Girl et l’homme ont quitté Paris ensemble. The Girl revient, plus éblouissante que jamais. L’homme est là lui aussi, et sa présence devient plus forte et menaçante.
La femme peintre retourne à l’hôtel où vit The Girl comme elle l’a fait si souvent.
Elle trouve l’homme et The Girl ensemble. Désemparée, elle s’enfuit. Elle erre dans les rues. Elle peint. Mais une idée la taraude, elle doit retourner à l’hôtel une dernière fois.

NOTES DE LA PROD :
Le thème central du film est la liberté, et comment l’amour peut égaler la liberté. Il y a trois relations principales. La première entre la narratrice et The Girl. The Girl entre volontairement dans cette histoire, ce qu’elle ne fait pas habituellement. De la poésie entre alors dans sa vie et elle ne peut rester indifférente.

La deuxième histoire concerne la narratrice et Bu Save. Bu Save est le seul personnage a avoir un nom, parce que l’amour égale la liberté, et la liberté égale Bu Save. Depuis le début, il y a un compromis entre elles. " Ce n’est pas la première fois " et " ce ne sera pas la dernière fois ". Elles repoussent ainsi les limites de l’intimité.

La troisième relation est entre The Girl et l’homme. Une relation faite de possession, de jalousie et de violence. Mais The Girl refuse la menace.

D’autres thèmes sont abordés dans The Girl, notamment être étranger dans un monde étrange. Ici, la narratrice entre dans le l’univers de The Girl qui lui est totalement étrange. Le film est construit au travers du regard de la narratrice, en conséquence elle est la norme, et The Girl est un lieu énigmatique où elle s’est introduite. L’autre aspect intéressant est la façon dont The Girl traite la narratrice. Elle veut être avec elle une nuit seulement, puis une autre encore. La narratrice prend ces caprices avec ironie car elle sait que The Girl reviendra. Leurs deux bulles sont faites pour s’attirer.

Le film suit les règles du film noir à plus d’un titre. Le personnage principal entre dans un monde qui lui est inconnu, tombe amoureuse et relate l’histoire à travers une voix off. Des angles extrêmes, haut et bas, et expressionnistes sont utilisés. D’autres éléments incluent ombres, silhouettes, miroirs et reflets. Un sentiment de malaise est également créé par des plans déséquilibrés.

Le combat intérieur de la narratrice en tant que peintre est permanent. Sa romance avec The Girl l’inspire, mais pour autant son travail n’avance pas. Dilemme entre inspiration et distraction.

Le film a lieu à Paris, mais reste atemporel. Paris est un personnage à part entière. Mais ce n’est pas le Paris des touristes, pas de monuments ostentatoires, simplement des rues, des ponts, la Seine qui marque le lien entre des vies différentes, des vies d’avant, des vies nouvelles.

Dans l’histoire de Monique Wittig, dont The Girl est tirée, le suspens naît à travers les mots. Il a fallu retranscrire ce suspens avec les images. J’ai choisi le silence. Le physique de l’homme suffit à traduire la menace. Il n’a pas besoin de parler pour que l’on se sente mal à l’aise. Tous les personnages sont peu bavards. Les relations s’établissent par juxtaposition et dans les mouvements.

L’histoire de Monique Wittig était au départ très visuel. Les relations sont très distinctes, et les personnages sont à la fois passionnés et distants. Pour exprimer l’humour et la poésie du texte, j’ai choisi un style épuré.

Le film s’inspire du " Samouraï " de Jean-pierre Melville et d’Alan Pakula avec " Klute ".

http://www.commeaucinema.com/film/the-girl,27580

dimanche 26 juin 2011

"Brouillon pour un dictionnaire des amantes"

Dans sa collection Les cahiers rouges, les Editions Grasset procèdent à la réédition du "Brouillon pour un dictionnaire des amantes", paru en 1975, écrit par Monique Wittig et Sande Zeig.

Assurément un dictionnaire par sa structure, recension alphabétique de mots avec leur définition, mais un dictionnaire dédié consacré au répertoire des amantes.

Le mot "amante" étant par ailleurs entendu, non dans le sens courant qui lui est donné dans une société dont la norme de l'hétérosexualité dominante a influencé même le dictionnaire, c'est-à-dire celui de "personne qui éprouve un amour partagé pour quelqu'un de l'autre sexe", mais de "celle qui éprouve un violent désir pour une autre en harmonie avec les préceptes de la poétesse grecque Sappho qui vivait à Lesbos.

En d'autres termes pour faire bref, un dictionnaire lesbien penserez-vous. Mais le raccourci, certes commode et explicite, et qui, inexorablement induit un sourire égrillard - tenant à la possible révélation d'une terminologie lesbienne croustillante et/ou salace - s'avère en l'espère réducteur et propre à entraîner une lecture bien décevante.

A cet égard, il paraît impératif de s'attacher à la personnalité des auteures qui ne sont pas précisément des comiques-troupiers même si elles ne manquent pas d'humour.

Sande Zeig, réalisatrice et écrivaine américaine, a été la compagne de Monique Wittig, philosophe et romancière française, théoricienne féministe et lesbienne, qui fut l'une des fondatrices du "Mouvement de Libération des Femmes", membre des "Gouines rouges", premier groupe lesbien constitué à Paris, et des "Féministes Révolutionnaires".

Son oeuvre qui constitue aujourd'hui de fondement, notamment aux Etats Unis, où elle s'était installée, aux théories de dépassement du genre où elle est devenue la figure tutélaire du courant queer, a, en son temps, marqué le mouvement féministe dont elle est une figure atypique.

Car elle prône un féminisme radical prenant la forme d'un lesbianisme politique en ce qu'il remet en cause le dogme hétérosexuel, qui s'oppose ainsi aux autres courants du féminisme qui'l s'agisse du féminisme existentialiste qui a intériorisé la norme sexuelle et voit en la femme le produit d'une culture (avec la fameuse sentence de Simone de Beauvoir "On ne naît pas femme on le devient"), du féminisme matérialiste ou du féminisme psychanalytique.

En effet, elle estime que le seul moyen pour échapper au clivage homme/femme programmé par l'histoire et/ou la culture qui aboutit inéluctablement à la société patriarcale et à l'esclavage de la femme passe par une troisième voie, celle de l'émergence d'un troisième type qui serait la lesbienne, terme entendu d'un point de vue politique. Ce qui ne manque pas, aujourd'hui encore, d'être perturbateur.

Dans cette ébauche de dictionnaire des amantes, elle procède à une réécriture du monde et de son histoire à travers le prisme de la femme, ou plus exactement de l'amante, qui serait directement issue des amazones et donc du culte des déesses-mère, culte consubstantiel à tous les mythes fondateurs de l'humanité.

Cela étant, ce dictionnaire, qui ne peut se satisfaire d'une lecture linéaire et alphabétique, et pour lequel il est recommander de commencer par le mot "histoire", est également truffé de pépites composées aussi bien de plaisantes définitions imaginaires et ludiques que de références à redécouvrir.

Ainsi, par exemple, "goudou" est un terme d'affection que les amantes utilisent fréquemment entre elles depuis une célèbre chanson intitulée "Le goût doux que j'ai de vous". La découverte des Flying Lesbians qui sont les mères des Riot girrrls. Ou de l'expression en usage chez "Les petites marguerites" : "T'as pas les ovaires de faire ça !"

http://www.froggydelight.com/article-10518-Brouillon_pour_un_dictionnaire_des_amantes.html

La Marche des fiertés plus revendicative que jamais à l'approche de la présidentielle

Ouverture du droit au mariage civil, réforme pour une amélioration du PACS ou droit à l'adoption: à l'approche de la présidentielle de 2012, les revendications phare de la Marche des Fiertés (ex-Gay Pride), qui se déroulera samedi après-midi dans les rues de Paris, sont plus politiquement colorées que jamais. L'Inter-associative gaie, lesbienne, bi et trans (Inter-LGBT), organisatrice de la manifestation, dénonce haut et fort un bilan "proche de zéro" du gouvernement Sarkozy.

Bien décidées à ne plus se laisser "endormir" par les promesses électorales de candidats à la magistrature suprême en quête d'un "vote gay" hypothétique, la soixantaine d'associations qui composent l'Inter-LGBT a cette fois fixé les règles du jeu, forte des quelque 500.000 personnes qu'elle draine dans les rues de la capitale depuis 2001. Une affluence qui en fait la plus importante manifestation revendicative régulière en France.

Du coup, le carré de tête de la "Marche" n'accueillera que des représentants de partis politiques ayant pris l'engagement de souscrire à toutes les revendications des organisateurs, à commencer par l'accès au mariage entre personnes de même sexe, une demande devenue la clé de voute de toutes leurs exigences, depuis le rejet d'une proposition de loi en ce sens du groupe socialiste le 14 juin à l'Assemblée Nationale.

Un sondage BVA/Canal+ de septembre 2009 montrait pourtant que 57% des Français étaient favorables à l'adoption par des couples homosexuels.

"On a bien conscience de l'existence d'un certain décalage entre l'opinion publique et la perception qu'a le parti politique majoritaire d'un même fait sociétal. La France était en avance avec le PACS à la fin des années 90, mais il nous faudra du temps pour rattraper le temps perdu par rapport à plusieurs pays de l'UE", l'Union européenne, a expliqué à l'Associated Press Élisabeth Ronzier, co-secrétaire de la Commission politique de l'Inter LGBT.

A ce jour, 10 pays dans le monde ont légalisé le mariage entre personnes du même sexe (Pays-Bas, Belgique, Canada, Afrique du Sud, Espagne, Portugal, Suède, Norvège, Argentine, Islande mais aussi cinq États des États-Unis, Washington D.C et la Ville de Mexico).

Le PCF, le Front de Gauche, Europe Ecologie-Les Verts et le PS, parti qui sera très largement représenté, notamment par le maire de Paris Bertrand Delanoë, ont ainsi gagné leur ticket pour marcher en tête de la manifestation devant photographes et caméras. Les représentants de la majorité présidentielle étant pour leur part inscrits aux abonnés absents.

Cela n'empêchera pas les jeunes UMP et leur groupe de réflexion "Gay Lib" de défiler sur leur char au sein de la parade, tout déçus soient-ils du résultat du vote du 14 juin, et contre lequel ils demandent à leurs troupes de se mobiliser.

La même amertume d'un "retard pris par le pays" est perceptible chez la marraine de la manifestation, l'actrice et chanteuse Arielle Dombasle. "J'ai le sentiment d'une vraie tendance à la crispation en France sur plusieurs thématiques sociétales dont celle de l'accès des gays à une 'égalité réelle' en matière de droits", a-t-elle confié à l'AP.

En attendant, la fête et les symboles seront au rendez-vous en fin de marche avec un "kiss in" géant organisé place de la Bastille en fin de journée. "Ce sera la Révolution de l'amour", a promis Arielle Dombasle, qui en donnera le coup d'envoi après un mambo endiablé.

Également en quête de nouveaux droits afférents ou liés au changement d'identité sexuelle, les transgenres seront aussi de la partie et profiteront de l'occasion pour désigner la plus belle d'entre elles à l'occasion de l'élection de Miss Transexuelle, prévue dimanche soir au "Madam" dans le VIIIe arrondissement de Paris.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110624.FAP0122/la-marche-des-fiertes-plus-revendicative-que-jamais-a-l-approche-de-la-presidentielle.html

Berlin: la Gay Pride dénonce l’homophobie dans le sport

Plusieurs dizaines de milliers de personnes, souvent costumées, ont défilé samedi à Berlin pour la traditionelle Gay Pride. Cette année la manifestation est placée sous le signe de la lutte contre l’homophobie dans le sport

Les organisateurs de la 33e «Christopher Street Day» attendaient environ un million de personnes pour cette manifestation annuelle qui donne l’occasion à ses participants de faire preuve d’originalié et d’humour dans leurs déguisements.

A la veille de l’ouverture de la Coupe du monde de football féminin en Allemagne, la Gay Pride berlinoise entend «tendre un carton rouge» à l’homophobie et plaider pour davantage d’«acceptation et de soutien à la diversité sexuelle dans le sport». «Un ’coming out’ est la plupart du temps encore l’exception dans le sport», selon les organisateurs, en particulier dans le monde du ballon rond. «La fédération internationale de football FIFA se tait malheureusement sur le thème de l’homosexualité», selon eux.

Accompagnés de 53 chars musicaux, les manifestants ont commencé à défiler lentement dans les rues de la capitale allemande en milieu de journée. Une grande fête était prévue à partir de 17 heures (heure locale) avec la participation du maire gay de Berlin, Klaus Wowereit, et du président de la Fédération allemande de foot (DFB), Theo Zwanziger. Mariage homosexuel approuvé à New York

Le 28 juin 1969, dans Christopher Street à New York, les clients du Stonewall Bar, travestis et jeunes prostitués pour l’essentiel, se sont pour la première fois rebellés contre une descente de police. Les quatre jours d’émeute qui ont suivi ont lancé le mouvement pour l’égalité des droits des homosexuels et des lesbiennes.

Vendredi le Sénat de New York a approuvé un projet de loi sur le mariage homosexuel, une décision historique qui fait de l’Etat de New York le sixième Etat, et de loin le plus important aux Etats- Unis, à reconnaître le mariage entre personnes de même sexe. D’autres villes d’Allemagne célèbrent également la Christopher Street Day mais à des dates différentes, comme Cologne, considérée comme la capitale gay d’Allemagne, qui célèbrera sa Gay Pride le 3 juillet. A Hambourg (nord) elle aura lieu le 6 août

http://www.tdg.ch/actu/monde/berlin-gay-pride-denonce-homophobie-sport-2011-06-25

Gay Pride européenne : manifestations monstre à Paris et Berlin

Alors que la nuit dernière l’Etat américain de New York a legalisé le mariage gay, la marche européenne des fiertés homosexuelles a rassemblé samedi après-midi des centaines de milliers de personnes, notamment à Paris en France.

Les associations ont profité de cette nouvelle Gay Pride pour demander l‘égalité des droits sur le mariage comme l’adoption.

Parmi les politiques en tête de cortège, Eva Joly, d’Europe Ecologie Les Verts : “Ce sont des nouvelles merveilleuses qui nous parviennent de New York”, dit-elle. “Notre programme propose également le mariage pour les gays et lesbiennes”.

Manifestation monstre également dans la capitale allemande Berlin.

Le maire de la ville, Klaus Wowereit, qui n’a jamais caché son homosexualité, a regretté que la marche des Fiertés ne puisse être organisée à l’unisson dans toute l’Europe. “Dans certains états de l’Union européenne comme les Etats baltes, il n’est pas aisé d’organiser la Gay Pride. Nous devons nous battre pour que les membres de l’Union européenne acceptent ce que l’Union nous donne comme un droit à savoir être contre la discrimination. Tous les Etats membres doivent accepter cela.”

Plusieurs centaines de milliers de personnes ont participé à la 33è Gay Pride Berlinoise placée cette année sous le signe de la lutte contre l’homophobie dans le sport

http://fr.euronews.net/2011/06/25/gay-pride-europeenne-manifestations-monstre-a-paris-et-berlin/

samedi 25 juin 2011

Ces gestes qui parlent pour vous

En France, cette année, la télévision à commençé a diffuser la série télé Lie to me.



J'ai adoré, cela m'a poussé à creuser le sujet, j'ai lu quelques ouvrages sur le profiling, le comportement non verbal et puis c'est devenu un jeu : s'assoir à une terrasse de café et regarder les gens, autour de soi et analyser.

Je pense qu'il n'y a pas de règles automatiques, du style : si la personne se gratte l'oreille cela veut dire..., par contre il y a des signes, qui s'avèrent d'excellentes indications, et dans tous les cas de figure cela vous permet de développer votre capacité d'observation et votre sens de la logique et de la déduction.

Le meilleur ouvrage que j'ai pu lire c'est celui de Joe Navarro

http://www.amazon.fr/Ces-gestes-parlent-votre-place/dp/2875150820

Quelques clés de lecture de comportements non verbaux (attention à toujours replacer en contexte) :

1 - Votre interlocuteur a les bras croisés
On croise les bras toujours de la même manière : soit on a le bras droit qui est au dessus du bras gauche (on dit alors bras droit dominant), soit inversement.
Clé de lecture
Si votre interlocuteur est gaucher, il faut inverser les significations.
Pour un droitier :
Bras gauche dominant : défensif
Bras droit dominant : offensif
Pour un gaucher :
Bras gauche dominant : offensif
Bras droit dominant : défensif
Significations
L’offensif a besoin d’avoir confiance en lui pour qu’on reconnaisse sa valeur
Le défensif a besoin qu’on l’estime pour alimenter sa confiance en soi
Attention : si vous êtes un offensif, face à un autre offensif, risque de conflit

2 - Les doigts sont croisés
C’est pareil : on a toujours un pouce dominant.
Le pouce gauche : mode affectif - Les émotions dominent la raison, il croit que ce qu’il ressent est vrai
Le pouce droit : mode cognitif (rationnel) - La raison domine l’émotion, il croit que ce qu’il est vrai

3 - Les mains dynamiques
De quelle main votre interlocuteur se sert-il pour illustrer ses propos ?
Main gauche : c’est un affectif qui se fonde sur son intuition
Main droite : la raison domine, il communique sur le mode cognitif
Les deux mains : c'est un pédagogique, il aime expliquer dans le détail ses propos
Votre interlocuteur utilise l'une ou l'autre main : cela reflète une véritable souplesse intellectuelle, il est ouvert à l'échange, il est à l'écoute des différents points de vue, et les comprend

Comment savoir si votre client est sincère ?
Si il ne vous regarde pas dans les yeux (regard orienté en bas à gauche ou en bas à droite), il y a des fortes chances pour qu'il ne soit pas à l'aise

Il met sa main devant sa bouche : on peut penser que votre interlocuteur refuse de formuler des objections, par perte de temps ou par politesse ?

Si il cache ses mains sous la table, il ne dit pas ce qu'il pense ou ne pense pas ce qu'il dit

Votre interlocuteur est-il d'accord avec vous ?
Ses avant-bras sont posés à plat sur la table qui vous sépare : il est en écoute attentive, il est ouvert au dialogue, en pleine curiosité, il veut en savoir plus

Il a les pupilles dilatées : il est enthousiaste ...

Il a les jambes croisées :
Attention si c'est un homme :
Jambe droite croisée sur la gauche : sympathie avec l'interlocuteur
Jambe gauche sur la droite : position répulsive, indique un recul ou un retrait

Si c'est une femme :
Jambe gauche croisée sur la droite : position attractive, indique une symphathie
Jambe droite sur la gauche : position répulsive

Si la jambe est en équerre, une main verrouille la cheville : position de stress de votre interlocuteur - le fil de la conversation lui échappe

Si celui-ci a le cou tendu vers l'avant, le menton rentré : il est en position de combat de gladiateur !
La tête penchée en arrière, les yeux au ciel : il est exaspéré ou découragé

http://votreassistantepreferee.over-blog.com/article-ces-gestes-qui-parlent-pour-vous-bis-46450647.html

Stand up pour Martina Navratilova

Martina Navratilova est souvent qualifiée comme la plus grande championne de l’histoire du tennis. Avec 59 tournois du Grand Chelem (double et simple confondu) a son actif, Martina Navratilova est devenu la star du tennis féminin pendant une décennie. Hors du court, sa personnalité a également fasciné le grand public et les médias.


Née en 1956 à Revnice en Tchécoslovaquie, Martina Navratilova grandit à Prague avec sa mère, Jana, et son demi-père, Mirek Navratilova.

Martina Navratilova tape sa première balle de tennis sur les courts de Revnice. A l’âge de 16 ans, en 1973, elle devient professionnelle et remporte, l’année suivante, son premier succès en finale du double mixte à Roland Garros.

Dés 1975, Martina Navratilova remporte plusieurs tournois. Elle crée, notamment, la surprise en atteignant deux finales du Grand Chelem à l’Open d’Australie et à Roland Garros (finale perdue face à Chris Evert). Martina Navratilova surprend avec son jeu complet, dynamique (service-volley) et créatif. Elle possède un physique d’athlète qui lui procure puissance et endurance.

En 1975, Martina Navratilova, 18 ans, apparaît, ainsi, comme une future championne de tennis. Une nouvelle menace pour l’américaine Chris Evert, qui, à l’époque, numéro un mondiale, domine le circuit féminin.
Il faut attendre 1978 pour voir le palmarès de Martina Navratilova « exploser ». En juillet, elle remporte son premier tournoi du Grand Chelem sur le Gazon de Wimbledon face à Chris Evert. Elle ne manquera plus le rendez-vous de la finale de Wimbledon jusqu'en 1990 (excepté en 1980 et 1981 où elle est battue en demi-finale). Sur l’ensemble de sa carrière, Martina Navratilova remportera 9 titres sur le Gazon anglais, dont six consécutifs (entre 1982 et 1987). Record inégalé depuis.
L’année 1978 est aussi celle où Martina Navratilova remporte les Masters avant de décrocher pour la première fois la place de numéro un mondial. A la fin de la saison, Martina Navratilova domine le tennis mondial à l’âge de 22 ans. Une suprématie qu’elle renouvelle en 1979 avec une (autre) victoire à Wimbledon. Mais, en 1980, Chris Evert reprend le dessus.

En 1982, Martina Navratilova revient. Une finale à l’Open d’Australie et deux victoires à Roland Garros et à Wimbledon lui suffissent pour reprendre (à Chris Evert) la place de numéro un mondiale.

Cette domination ne s’arrêtera plus jusqu’en 1990. Pendant 8 ans, Martina Navratilova est présente parmi les meilleurs joueuses mondiales. Ses adversaires redoutent de jouer contre elle. Elle est souvent imbattable et multiplie les victoires et les records.
Elle occupe de 1982 à 1986, la place de numéro un mondiale. Au total, elle passera 331 semaines au sommet du classement.

Dans son autobiographie Being Myself, elle raconte avoir eu des aventures aussi bien avec des hommes que des femmes et, plus tard, avoir ressenti une forte attirance pour les femmes.

En 1981, peu après avoir obtenu la nationalité américaine, Navrátilová fit part publiquement de son orientation sexuelle. Elle fut la compagne de la romancière américaine Rita Mae Brown au début des années 1980, ainsi que de Judy Nelson, ex-Miss Texas mariée et mère de deux enfants, de 1983 à 1991. Leur séparation est due notamment au fait que Navrátilová posa pour un calendrier WTA (International Women's Tennis Association) par Jean Renard avec les enfants de Nelson en arrière plan.

Martina Navrátilová est militante pour les droits des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT). Porte-parole des premiers Outgames en 2006, elle a solennellement lu le 29 juillet 2006, avec le médaillé olympique Mark Tewksbury, la Déclaration de Montréal sur les droits humains des LGBT, issue de la Conférence mondiale sur les droits des LGBT de Montréal.
Martina Navrátilová a fondé la Martina Navratilova Youth Foundation pour les jeunes en difficulté.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Martina_Navrátilová



Oshen («La Lesbienne invisible») - En miettes, le nouveau clip

Une vidéo plutôt osée... et très réussie. Dès les première images, En miettes, le nouveau clip d'Oshen s'ouvre sur deux femmes en train de faire l'amour. La vidéo, réalisée par François Valla, part de la fin de cette scène très sexy pour remonter au début, et à la rupture entre Oshen et sa petite amie (qui part alors coucher avec une autre).

Ce titre est le premier single de La Pudeur, le dernier album de la chanteuse à qui l'on doit également le spectacle très réussi La lesbienne invisible. Un spectacle qui lui vaut aujourd'hui d'avoir droit à son portrait en dernière page de Libération, intitulé Gazon Girlie. Une belle visibilité pour cette artiste douée, même si on regrette que l'article en question n'évite pas quelques clichés. Celle que l'on connait aussi sous le nom d'Océane Rose Marie y est présentée comme une chanteuse qui «fait polémique communautaire en s'affirmant lesbienne très fille». Ou encore comme «une Bridget Jones version lesbienne, perdue dans un univers de camionneuses». Comme si toutes les lesbiennes étaient masculines...

http://www.tetu.com/actualites/culture/du-sexe-lesbien-dans-le-nouveau-clip-doshen-la-lesbienne-invisible-19684

"A Historic Triumph For Liberty And Freedom"

Mayor Bloomberg, who has pushed for the legalization of same-sex marriage here in New York (despite being attacked by critics for heavily funding the same GOP that has kept it from getting on the books in the past) released the following statement on tonight's big Senate vote:

“Today’s passage in the New York State Senate of legislation recognizing the right of couples to marry regardless of their gender is a historic triumph for equality and freedom. New York has always been a leader in movements to extend freedom and equality to people who had been denied full membership in the American family. By welcoming all people – no matter where they are from, what faith or philosophy they follow, or whom they love – New York became the strongest, most dynamic city in the world. And today, we are even stronger than we were yesterday.

“In recent weeks, I have had many conversations with our State Senators. I emphasized that not only is marriage equality consistent with bedrock American principles, but it is also consistent with bedrock Republican Party principles of liberty and freedom – and the Republicans who stood up today for those principles will long be remembered for their courage, foresight, and wisdom. In fact, 10 or 20 or 30 years from now, I believe they will look back at this vote as one of their finest, proudest moments.

“I want to thank the Senators for graciously taking the time to talk with me over the past few weeks, and for approaching this issue so thoughtfully and honestly. Based on my conversations with senators, I was fully convinced that if we could get a bill to the floor for a vote, we would have marriage equality in New York State. So I want to thank Majority Leader Skelos for allowing democracy to work – and allowing the will of the people to be done. And I especially want to thank Senators McDonald, Alesi, Saland and Grisanti for having the courage of their convictions and bringing this historic change to New York.

“The passage of this bill is the culmination of a decades-long struggle for equality by gay and lesbian New Yorkers. Although there are too many people to acknowledge and thank, I want to express special appreciation to Governor Cuomo and Assembly Speaker Silver for their leadership, and to City Council Speaker Christine Quinn, who has been a tireless and passionate advocate for gay and lesbian rights for many years. Together, we have taken the next big step on our national journey toward a more perfect union.”

http://www.nydailynews.com/blogs/dailypolitics/2011/06/ny-mayor-bloomberg-calls-marriage-vote-a-historic-triumph-for-liberty-and-free

New law clears the way for gay marriage in NY

Gay couples around the globe can mark their calendars for New York weddings starting in late July, now that the state has become the sixth to legalize same-sex marriage.
At New York City's famous Stonewall Inn that spawned the gay rights movement in 1969, Scott Redstone watched lawmakers pass a historic gay marriage measure Friday night on one of the many Internet and television feeds. He was with his partner of 29 years, and popped the question.
The measure signed into law by Gov. Andrew Cuomo doubles the number of Americans living in a state with legal gay marriage.
New York is the third state, after Vermont and New Hampshire, to legalize marriage through legislation, and without being forced to do so by a court.

associatedpress




In december 2009 - Diane J Savino

vendredi 24 juin 2011

Methodist minister gets small sanction over lesbian wedding

An openly-gay United Methodist minister was suspended from her religious duties for 20 days after elders decided on Thursday that she violated church doctrine by performing a same-sex wedding.

Rev. Amy Delong was also required to write a paper about how she should deal with issues that "create an adversarial spirit" within the church, according Rev. Tom Lambrecht, representing the Wisconsin Conference of the United Methodist Church.

"We feel good that it recognizes that there was a violation of church law and that there is a punishment levied," Lambrecht said of the decision.

DeLong is required to complete the first draft of the document by January 1, 2012. The final draft is to be completed by June of 2012. If she fails to comply with the ruling, DeLong will be suspended from her ministerial duties for one year.

Delong said her goals during the proceeding were to tell the truth about herself, to help the church live up to its goals, and to send a message of love to gays.

"I am standing in the light of God and feel confident and strong. We have opened some doors and it feels like a new day," she said after the trial.

The sentence ended a four-day church trial in which a 13-member jury unanimously convicted DeLong of officiating a wedding for a lesbian couple in Menominee, Wisconsin in September, 2009.

Rev. Scott Campbell, who represented DeLong, called it a "very fair" outcome.

The 44-year-old minister from Osceola, Wisconsin faced two charges -- officiating a homosexual union and being a "self-avowed practicing homosexual."

The jury voted 12-1 that DeLong was not guilty of being a self-avowed practicing homosexual. Homosexuals may be ordained ministers in the United Methodist Church but they must vow to a life of celibacy, according to the church's doctrine.

DeLong, who has been in a relationship for the last 16 years, is the executive director of Kairos CoMotion, a progressive theological advocacy group.

The church trial, similar to a criminal trial, was held at Peace United Methodist Church in Kaukauna, about 30 minutes southwest of Green Bay.

The proceeding marked the seventh time over the last two decades that the church has held a trial involving homosexuality, according to the United Methodist News Service. The church is expected to take a hard look at its policies on homosexuality during its legislative conference in 2012, Lambrecht said.

"This is going to be a big issue and an important discussion that is going to be held in 2012," Lambrecht said. "There are proposals that completely reverse our church's position on the issue right now."

Lambrecht also recommended the jury require DeLong to sign a statement saying she would not perform same-sex marriage ceremonies in future. She had said earlier that she would refuse to sign that type of statement if it were required.

Despite the ruling, DeLong said she would not treat an invitation to preside over a same sex marriage any differently than she would a traditional marriage.

"There's no way I would categorically discriminate against them based on their sexual orientation," she said.

http://www.reuters.com/article/2011/06/24/us-methodists-gays-idUSTRE75N08D20110624

Le 25 juin 2011, tous à la Marche des Fiertés LGBT - Paris

La Gay Pride aura lieu cette année à Paris le 25 juin 2011 et a pour mot d'ordre « Pour l'Egalité : en 2011 je marche, en 2012 je vote. »

événement La Marche des fiertés 2011 aura lieu demain à Paris

«Pour l'égalité : en 2011 je marche, en 2012 je vote. » Le mot d'ordre de la Marche des fiertés lesbiennes, gaies bi et trans (LGBT) 2011, qui aura lieu demain à Paris, est décidément très politique. « On a choisi le thème il y a plusieurs mois, avant les débats à l'Assemblée sur le mariage, assure Nicolas Gougain, porte-parole de l'Inter-LGBT qui organise l'événement parisien. C'est pour montrer que nous restons exigeants, que nos voix ne sont pas acquises. »

Mariage et parentalité
Quatre revendications seront donc mises en avant par ce défilé festif : la question du mariage, de la parentalité, la reconnaissance de la transphobie et le droit d'asile, notamment pour les personnes atteintes du VIH qui doivent se faire soigner en France. A 13 h 30, des responsables associatifs prendront la parole à Montparnasse, puis le cortège s'ébranlera vers 14 h, le Gai Moto Club en tête. Il sera composé cette année de 86 organismes, « un record absolu » selon les organisateurs. Tout ce monde – environ 500 000 personnes sont attendues – se dirigera en musique vers la place de la Bastille. Entre 16 h et 21 h, de nombreux artistes dont Quentin Elias, Clara Morgane, Sister Queen ou encore Teo Moss assureront une animation musicale gratuite.

A 20 h, la marraine de cette édition de la Marche des fiertés, Arielle Dombasle, lancera « le plus grand kiss-in du monde ». « Normalement, à cette heure-là, on sera entre 20 000 et 30 000 sur la place, prévoit Nicolas Gougain. C'est évidemment militant, pour montrer que ce n'est pas toujours facile pour deux personnes de même sexe de s'embrasser dans l'espace public. »
La Bastille se videra relativement tôt, mais pas question pour les manifestants de se quitter comme ça : de nombreuses soirées sont prévues dans les clubs parisiens, gays ou non, pour prolonger la fête.

http://www.20minutes.fr/article/746979/gay-pride-pleine-forme

La Marche empruntera les boulevards de Montparnasse et de Port-Royal, puis les boulevards Saint-Michel et Saint-Germain, le pont de Sully et le boulevard Henri-IV pour enfin arriver place de la Bastille

jeudi 23 juin 2011

Le président Obama reste prudent sur la question du mariage homosexuel

arack Obama est arrivé à 19H00 (01h00 vendredi heure suisse) dans un hôtel de Manhattan où un gala de levée de fonds était organisé pour la communauté LGBT (Lesbienne, gay, bisexuel et transgenre). Le président a embrassé Jonathan Hopkins, un ancien combattant homosexuel.

"Voilà le président qui a abrogé la loi qui imposait le silence aux homosexuels, merci mille fois Monsieur le Président", s'est exclamé ce militaire médaillé. Ce dernier avait été exclu de l'armée en 2010 en vertu de la législation interdisant aux homosexuels de dire leur orientation.

Barack Obama a promulgué fin décembre une loi mettant fin à dix-sept ans d'un texte controversé, dit "Don't ask, don't tell" (Ne rien demander, ne rien dire). Ce texte obligeait gays lesbiennes de l'armée à taire leur orientation sexuelle sous peine d'être radiés.

"Je crois que les homosexuels ont les même droits légaux que les autres couples dans ce pays", a lancé Barack Obama. Il n'est pas allé jusqu'à soutenir ouvertement le mariage homosexuel, un pas qu'il n'a jamais franchi même s'il milite pour l'égalité des droits et la disparition des discriminations.

"Mariage, mariage, dites oui au mariage!", entendait-on crier ça et là dans la salle. "Je vous ai entendu les amis, et croyez moi ou pas, je m'attendais à vos remarques", a rétorqué le président en riant. Ce gala a réuni quelque 600 convives, lesquels avaient payé entre 1250 et 2500 dollars leur place à table

http://www.24heures.ch/depeches/monde/president-reste-prudent-question-mariage-homosexuel

Ni hao - le chinois ou la patience du petit scarabée

Il y a 4 ans, j'ai commencé à apprendre le chinois, plus exactement le mandarin parce que la Chine, c'est un peu compliqué, vous avez pleins de langages (cantonais, shanghaien...).
Le mandarin étant la langue officielle.
Pourquoi diable apprendre le chinois me direz vous ?
Une grande passion pour la culture asiatique n'y est pas pour rien, le fait de vivre dans un quartier Chinois aussi, et puis après par jeu, toujours amusant de commander en chinois dans un restaurant de Chinatown, mais aussi idéal pour rompre la glace lorsque vous voyagez en Chine...et pour finir toujours du plus grand effet dans les soirées.

Ne vous arretez pas au fait que le mandarin n'ai pas d'alphabet, pour vous débrouillez en chinois, il vous faut connaitre a peu prés 500 idéogrammes, (200 idéogrammes sera le minimum vital) pour être à l'aise environ 1000, c'est plus facile que l'on ne pourrait penser au démarrage ; en fait c'est un peu comme tout, il faut se lancer.
Chaque idéogramme chinois est traduit en pinyn, c'est a dire en caractére latin, ce qui vous permet :
-de le mémoriser plus facilement
-de savoir le prononcer

Par exemple : je, a pour idéogramme 我, qui se prononce en pinyn : wo
Conclusion pour dire "je" en chinois, vous dites "Wo"

J'ai la chance de pouvoir apprendre le chinois en cours du soir à la fac, mais il existe de trés bonnes méthodes pour apprendre le chinois, la méthode assimil est excellente.

http://www.assimil.com/

Le site officiel du gouvernement chinois, n'est pas mal non plus

http://www.chine-nouvelle.com/methode/chinois

Quelques phrases pour constituer votre kit de survie en Chine :
Bonjour : 你好 (ni hao)
Mon nom est …… : 我的姓名是…. (wo de xing ming shi)
Comment allez-vous? : 你好吗 ? (ni hao ma)
Merci : 谢谢 (xie xie)
Au revoir : 再见 (zai jian)
Combien ça coute? : 多少钱 ? (duo shao qian)
Je ne comprend pas : 我不明白 (wo bu ming bai)
Quelle heure est-il ? : 现在几点了 ? (xian zai ji dian le)
France : 法国 (fa guo)
Je suis français : 我是 法国人 (wo shi fa guo ren)
Ou : 在那里 (zai na li)
Ici : 这里 (zhe li)
Là-bas : 那里 (na li)
C’est cher : 很贵 (hen gui)
C’est trop cher : 太贵 (tai gui)
C’est pas cher : 便宜 (pian yi)
Pourquoi : 为什么 (wei shen me)
Je t'aime : 我爱 你(wo ai ni)

Pour avoir l'occasion d'être allée plusieurs fois en Chine, la Chine est un pays magnifique à découvrir, le pays de tous les contrastes, si vous avez l'occasion faîtes les grandes villes (Hong Kong, Shanghai Pékin, Taïwan ... ) , mais prenez le temps aussi d'aller à l'intérieur du pays, allez à Xian, l'armée enterrée c'est juste tout bonnement à vous couper le souffle, le Sichuan est une region magnifique, le Henan aussi, poussez jusqu'au toit du monde, Lhassa, il y a tellement de choses à faire, à voir.

Je vous met un lien vidéo pour l'armée enterrée, mais c'est un peu comme Bryce Canyon ou le Grand Canyon, aucune image ou vidéo ne peut retranscrire l'atmosphére et la beauté du site

Cubs go to bat for LGBT youth Team becomes just 2nd in U.S. pro sports to align with 'It Gets Better' campaign

The Cubs are sending a message of support to lesbian, gay, bisexual and transgender youth, becoming only the second professional sports team in the country to join the anti-bullying "It Gets Better" campaign.

"Hatred, intolerance and bigotry have no place in this world," Cubs pitcher Ryan Dempster says in a new video the team put together.

The Chicago Cubs organization celebrates you for exactly who you are, gay or straight," says manager Mike Quade.

The video joins thousands of others posted on the itgetsbetter.org website, launched in 2010 by syndicated columnist Dan Savage and his partner as a response to the high rate of suicide among lesbian, gay, bisexual and transgender (LGBT) teens.

The San Francisco Giants were the first professional sports team to join the "It Gets Better" campaign, and several other Major League Baseball teams have signed up to produce similar videos.

http://articles.chicagotribune.com/2011-06-22/news/ct-talk-cubs-it-gets-better-0623-20110622_1_lgbt-lesbian-transgender-youth

http://www.itgetsbetter.org/


Schwarzenbach, l'écrivain maudite de la Suisse

Morphinomane et lesbienne : c'est ce que l'on retient hâtivement de l'écrivain photographe, poétesse et journaliste suisse Annemarie Schwarzenbach. A condition déjà de la connaître, ce qui est rare à moins d'habiter les environs de Zurich où elle est aujourd'hui une icône. Annemarie Schwarzenbach est un écrivain fulgurant à découvrir.

Née en 1908 dans une famille suisse bourgeoise pronazie, elle s'est, en réaction, rangée à gauche et tournée vers le monde. Ses reportages en Espagne, en Perse, en Russie, aux Etats-Unis, en Afghanistan et au Congo belge, dessinent le monde des années 1930, au seuil de la Seconde Guerre mondiale. Son œuvre romanesque et poétique est celle d'une femme sensible et seule à l'extrême, une lectrice du poète Hölderlin, désespérée par la condition humaine, tel que l'illustre La Vallée heureuse en 1935. Elle meurt en 1942 des suites d'un accident de vélo. Elle a 34 ans.

Les années de guerre l'engloutissent jusqu'à ce que Dominique Laure Miermont découvre l'œuvre lumineuse de cette étrange androgyne dans les années 1980. Avec sa coauteur Nicole Le Bris, elle lui consacre un livre, Annemarie Schwarzenbach, la quête du réel (coll. « Voyager Avec », éd. La Quinzaine littéraire-Louis Vuitton) qui rassemble reportages et photos inédites prises par cet iconoclaste écrivain des années 1930, marquée, comme elle le disait, par la malédiction de la fuite

http://www.20minutes.fr/article/746265/schwarzenbach-ecrivain-maudit-suisse

mercredi 22 juin 2011

'The Voice' recap: America loves singing lesbians!

Of the eight semifinalists in "The Voice," only two are openly lesbian, but that's a pretty high number: 25%. And both those two were saved by the viewing audiences' vote, which has to say something: America loves singing lesbians!

Or maybe it's just that Americans who watch "The Voice" noticed that the competitors in question, Beverly McClellan and Vicci Martinez, are really compelling singers. People who want to vote for them -- or the other six singers -- had to be paying attention, because the show's voting rules changed, yet again. Votes must be made before 10 a.m. Wednesday Eastern Time. That's 7 a.m. for us in Los Angeles.

Last week's audience votes were announced at the beginning of Tuesday's "The Voice," during which the eight semifinalists each performed (competing for your votes, should you have noticed that early voting deadline). Two coaches performed, too -- Adam Levine, with his band Maroon 5's new single "Moves Like Jagger," and Blake Shelton, who sang his country-rock "Honeybee."

http://latimesblogs.latimes.com/showtracker/2011/06/the-voice-semifinals.html